C’est comme faire un effort obligé par en arrière pour progresser par en avant
De la naissance à la mort on doit avancer pour juste garder notre l’équilibre
De la connaissance à l’oublie forcée, on doit bouger pour éviter l’engourdissement
C’est comme admettre une certaine laideur du cheminement vers la fin du début
Non pas que la vie est déplaisante au contraire, mais qu’elle est dans sa beauté si froide
Non pas que se battre sans autre choix que la survie est négatif, non simplement dur
Non pas que de crier sa douleur est froussard non simplement une intonation compensatoire
C’est comme un niveau de conscience inutile à la progression, mais si pratique à la conclusion
J’aime la vie et je lui ai fait l’amour à chaque occasion et opportunité ou j’ai pu la côtoyer
J’aime me battre, me dépasser, mais je dois admettre que parfois je suis lâche même épaté
J’aime rêver, imaginer, créer pourtant parfois je ne trouve rien et je me sens et oui dépassé
C’est comme une recette que l’on connait bien, mais qui n’est jamais garantie de sa réussite
Je déteste gaspiller du temps, car lui comparativement à l’argent, non il ne reviendra jamais
Je déteste me plaindre des obstacles que la vie éparpille sur mon chemin, car je suis un choyé
Je déteste me gargariser de mes forces et réussites, car je les ai eus gratuitement à ma naissance
C’est comme une évidence que la vie est d’une injustice chronique et que plusieurs sont exclus
Il ya des personnes qui ont des cheveux et d’autres si peu…mais soyons honnête ni un, ni l’autre ont demandés d’en avoir ou de ne pas en avoir….
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